La trêve aura été de courte durée. À peine trois semaines après un semblant de réconciliation, Donald Trump est reparti à l’assaut de son ancien allié Elon Musk, l’accusant à nouveau de vivre « aux crochets de l’État fédéral » et suggérant qu’il devrait « fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud ».
Sur son réseau Truth Social, l’ancien président américain n’a pas mâché ses mots :
« Elon obtient peut-être plus de subventions que tout autre individu dans l’histoire, de loin, et sans ces subventions, Elon aurait probablement dû fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud », a-t-il asséné.
Dans une attaque nourrie contre les activités de Musk, il a poursuivi :
« Plus de lancements de fusées, de satellites ou de production de voitures électriques et notre pays économiserait une FORTUNE ». Et de conclure sur un ton moqueur : « Peut-être devrions-nous demander à DOGE d’examiner cela sérieusement ? BEAUCOUP D’ARGENT À ÉCONOMISER !!! »
DOGE, la redoutée commission fédérale de réduction des dépenses que Musk avait contribué à créer, pourrait donc être utilisée… contre lui. Ironie mordante.
La querelle entre les deux hommes a été ranimée par une nouvelle charge d’Elon Musk contre la loi budgétaire XXL de Trump, attendue mardi au Sénat. Sur X, l’homme d’affaires n’a pas retenu ses coups :
« C’est une abomination. Nous vivons dans un pays au parti unique : le parti des cochons qui se goinfrent », a-t-il fustigé, dénonçant un plafond de la dette relevé de 5.000 milliards de dollars.
Et la menace est claire : Musk entend créer un nouveau parti et financer la campagne d’opposants au sein des primaires républicaines. « VOX POPULI VOX DEI. 80 % ont voté pour un nouveau parti », a-t-il lancé ce mardi sur X, ajoutant : « Tout ce que je demande, c’est que nous ne mettions pas l’Amérique en faillite ».
Avec AFP
Sur son réseau Truth Social, l’ancien président américain n’a pas mâché ses mots :
« Elon obtient peut-être plus de subventions que tout autre individu dans l’histoire, de loin, et sans ces subventions, Elon aurait probablement dû fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud », a-t-il asséné.
Dans une attaque nourrie contre les activités de Musk, il a poursuivi :
« Plus de lancements de fusées, de satellites ou de production de voitures électriques et notre pays économiserait une FORTUNE ». Et de conclure sur un ton moqueur : « Peut-être devrions-nous demander à DOGE d’examiner cela sérieusement ? BEAUCOUP D’ARGENT À ÉCONOMISER !!! »
DOGE, la redoutée commission fédérale de réduction des dépenses que Musk avait contribué à créer, pourrait donc être utilisée… contre lui. Ironie mordante.
La querelle entre les deux hommes a été ranimée par une nouvelle charge d’Elon Musk contre la loi budgétaire XXL de Trump, attendue mardi au Sénat. Sur X, l’homme d’affaires n’a pas retenu ses coups :
« C’est une abomination. Nous vivons dans un pays au parti unique : le parti des cochons qui se goinfrent », a-t-il fustigé, dénonçant un plafond de la dette relevé de 5.000 milliards de dollars.
Et la menace est claire : Musk entend créer un nouveau parti et financer la campagne d’opposants au sein des primaires républicaines. « VOX POPULI VOX DEI. 80 % ont voté pour un nouveau parti », a-t-il lancé ce mardi sur X, ajoutant : « Tout ce que je demande, c’est que nous ne mettions pas l’Amérique en faillite ».
Avec AFP