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Karim Wade, les absurdités d’un politicien artificiel


Comme un « smartphone hi-tech », Karim Wade qui pilote à distance ses actions politiques, via appels WhatsApp est sorti du bois, en ce nouvel An, pour dénoncer la « mal gouvernance » du régime de Macky Sall. Dans quel pays sommes-nous.
 
Dans l’arène politique sénégalaise, on clopine quand on a pour programme que l’insulte et les accusations calomnieuses. Les Sénégalais détestent les mystificateurs à gage et maudissent les boutefeux qui trichent en se laissant aller à la facilité.
 
 
Un voleur notoire et caractéristique qui nous a volés 138 MILLIARDS FCFA se permet de donner des leçons de bonne gouvernance. Diantre ! Dans quel pays sommes-nous ?
 
Tout le monde doit donner des leçons de bonne gouvernance sauf lui, Karim Wade, « WhatsApp man », et «Tirailleur sénégalais» qui tire ailleurs. Que Karim Wade devenu une «momie» politique, sache quoi qu’il advienne, il paiera les 138 milliards FCFA qu’il doit au peuple sénégalais.
 
Karim Wade est le prototype du semeur de la forfaiture dont la forfaiture politico-familialo-monarchique entamée a avorté en 2012. En se réfugiant au Qatar, il a légué des pratiques d’imposteurs.
 
Ce pays étant un Etat de Droit, trôner à la tête d’une Institution ne disculpe personne à l’heure de la reddition des comptes.  Une position partisane ne doit, donc, amener aucun responsable politique, ni aucune « momie politique » en quête de présence politique à occulter les forfaitures des uns en accusant les autres parce que c’est leur camp que l’on combat.
 
 
Karim Wade triche en taisant la responsabilité du régime libéral dans la dilapidation de nos ressources. La République n’étant pas une pagaille, Macky, au nom de la continuité de l’Etat a hérité d’une mal gouvernance en 2012 et d’un pays avec ses bévues, scandales et forfaitures pour procéder aux rectifications.
 
A titre d’exemple de mal gouvernance : le pétrole sénégalais où des responsables cités comme responsables de cette ignominie sont Karim Wade. Karim et ses sycophantes encagoulés épargnent Macky Sall qui doit prendre ses responsabilités. Que rien donc ne soit plus comme avant pour que cessent impostures et  intoxications.
 
A Karim, chef de parti virtuel, il est invité de diversifier sa parole politique : agriculture, emploi, promotion humaine, justice, sécurité et santé publique, éducation et formation professionnelle, entre autres, sont les urgences nationales.
 
 
Le Sénégal est sur les rampes de l’émergence pour qu’on accuse et étale des faussetés. Un voleur restera toujours un voleur et un imposteur restera toujours un éternel imposteur. Le peuple dont il se réclame, exige toujours ses 138 milliards qui peut résoudre le chômage des jeunes. Par conséquent, pas d’amnistie ni pour Karim Wade ni pour Khalifa Sall. ces éternels voleurs.
 
Mouhamadou Lamine Massaly
 
Président de de l’Union pour une nouvelle république (UNR)
 
PCA de l’ONFP





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« Une position incohérente et hypocrite », Capitaine Touré recadre Me Youm après sa déclaration sur l’amnistie

L’ancien capitaine de la gendarmerie et actuel Directeur général de l'Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP), Seydina Oumar Touré, a vivement critiqué la récente prise de position de Me Oumar Youm, ancien ministre sous le régime de Macky Sall.

S’exprimant sur la polémique autour de la loi interprétative qui sera soumise au vote le 2 avril à l’Assemblée nationale, Seydina Oumar Touré s’étonne de l’attitude de l’ancien ministre, qu’il juge contradictoire avec son propre engagement politique. « J’ai parcouru le texte de Maître Oumar Youm, ancien ministre du Président Macky Sall. Je trouve sa position très paradoxale, c’est à la limite une négation de son appartenance politique », a-t-il déclaré.

Me Youm, de son côté, dénonce cette loi interprétative qu’il considère comme une reconnaissance implicite des crimes et délits imputés aux membres du PASTEF. Il estime qu’au lieu d’abroger la loi d’amnistie promise, le pouvoir en place propose un texte « indigeste » visant, selon lui, à protéger des « délinquants » au détriment de ceux qui ont défendu la République.

En réponse, Seydina Oumar Touré remet en question la cohérence de la démarche de Me Youm, rappelant que cette loi a été adoptée sous son propre gouvernement. « Faire voter une loi par son parti en marge des canaux appropriés, en moins d’une année, et ‘espérer’ son abrogation, tout en reprochant au régime en place de ne pas l’avoir abrogée, me paraît incroyablement incohérent et foncièrement hypocrite », a-t-il asséné.

Allant plus loin dans son analyse, l’ancien officier de la gendarmerie accuse l’ancienne majorité, aujourd’hui dans l’opposition, de manquer de respect au peuple sénégalais. « Aujourd’hui plus que jamais, le pouvoir de jadis, opposition actuelle, repousse inexorablement les limites de l’irrespect et du manque de considération vis-à-vis du peuple souverain », a-t-il conclu.