Lors du lancement de la phase 2 du Projet d’appui et de valorisation des initiatives entrepreneuriales des femmes et jeunes (Pavie 2), le Premier ministre Ousmane Sonko a livré un discours musclé, appelant à dépasser les querelles politiques pour se concentrer sur le vrai défi du Sénégal : la transformation économique.
« Notre pays n’a qu’un seul problème : ce que nous n’avons pas su faire depuis 65 ans. C’est le défi économique. Il nous faut désormais concentrer tous nos efforts à relever ce défi, car nous en avons le potentiel, les compétences, l’envie et la détermination », a-t-il lancé, dans un ton à la fois solennel et offensif.
Sans nommer ses adversaires, le chef du gouvernement a clairement répondu aux critiques de l’opposition, qu’il accuse de manipuler l’opinion publique : « Notre pays n’a pas de problème politique. Certains font le tour des médias pour faire croire le contraire. Il n’en est rien. Nous avons tourné la page de la politique politicienne », a-t-il affirmé, avant de rappeler la solidité des institutions sénégalaises et leur impartialité : « Qu’on s’appelle président Diomaye ou Sonko, pouvoir comme opposition, les règles sont appliquées sans distinction ».
Rejetant toute idée de fracture sociétale, il a ajouté : « Notre pays n’a pas de problèmes sociétaux. Il n’y a pas de tiraillements d’ordre religieux, régional ou ethnique ».
« Notre pays n’a qu’un seul problème : ce que nous n’avons pas su faire depuis 65 ans. C’est le défi économique. Il nous faut désormais concentrer tous nos efforts à relever ce défi, car nous en avons le potentiel, les compétences, l’envie et la détermination », a-t-il lancé, dans un ton à la fois solennel et offensif.
Sans nommer ses adversaires, le chef du gouvernement a clairement répondu aux critiques de l’opposition, qu’il accuse de manipuler l’opinion publique : « Notre pays n’a pas de problème politique. Certains font le tour des médias pour faire croire le contraire. Il n’en est rien. Nous avons tourné la page de la politique politicienne », a-t-il affirmé, avant de rappeler la solidité des institutions sénégalaises et leur impartialité : « Qu’on s’appelle président Diomaye ou Sonko, pouvoir comme opposition, les règles sont appliquées sans distinction ».
Rejetant toute idée de fracture sociétale, il a ajouté : « Notre pays n’a pas de problèmes sociétaux. Il n’y a pas de tiraillements d’ordre religieux, régional ou ethnique ».