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le pouvoir comme une crise d'hémorroïde


L'expression "le pouvoir comme une crise d'hémorroïdes" peut être interprétée de manière métaphorique pour évoquer les difficultés et les douleurs associées à l'exercice du pouvoir. Tout comme une crise d'hémorroïdes peut être inconfortable et source de stress, le pouvoir peut également engendrer des tensions, des conflits et des responsabilités lourdes à porter.

Interprétations possibles :

  1. Inconfort et douleur : Le pouvoir peut être une source de stress et d'anxiété, tout comme les hémorroïdes provoquent une gêne physique. Les dirigeants peuvent ressentir une pression constante pour prendre des décisions difficiles, ce qui peut être éprouvant.
  2. Conflits et tensions : Tout comme les hémorroïdes peuvent être causées par des facteurs tels que le stress ou une mauvaise circulation, le pouvoir peut également engendrer des conflits internes et externes, des rivalités et des luttes de pouvoir.
  3. Éphémère et délicat : Les crises d'hémorroïdes peuvent être temporaires, mais elles nécessitent souvent des soins et une attention particulière. De même, le pouvoir peut être instable et nécessite une gestion prudente pour éviter des conséquences négatives.
  4. Réactions des autres : Tout comme les hémorroïdes peuvent être un sujet tabou, le pouvoir peut également être entouré de stigmatisation ou de critiques. Les personnes au pouvoir peuvent faire face à des jugements ou des réactions négatives de la part des autres.
Cette métaphore souligne donc les défis et les complexités liés à l'exercice du pouvoir, tout en rappelant que, comme pour toute douleur, il est essentiel de trouver des moyens de gérer et de surmonter ces difficultés.




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« Une position incohérente et hypocrite », Capitaine Touré recadre Me Youm après sa déclaration sur l’amnistie

L’ancien capitaine de la gendarmerie et actuel Directeur général de l'Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP), Seydina Oumar Touré, a vivement critiqué la récente prise de position de Me Oumar Youm, ancien ministre sous le régime de Macky Sall.

S’exprimant sur la polémique autour de la loi interprétative qui sera soumise au vote le 2 avril à l’Assemblée nationale, Seydina Oumar Touré s’étonne de l’attitude de l’ancien ministre, qu’il juge contradictoire avec son propre engagement politique. « J’ai parcouru le texte de Maître Oumar Youm, ancien ministre du Président Macky Sall. Je trouve sa position très paradoxale, c’est à la limite une négation de son appartenance politique », a-t-il déclaré.

Me Youm, de son côté, dénonce cette loi interprétative qu’il considère comme une reconnaissance implicite des crimes et délits imputés aux membres du PASTEF. Il estime qu’au lieu d’abroger la loi d’amnistie promise, le pouvoir en place propose un texte « indigeste » visant, selon lui, à protéger des « délinquants » au détriment de ceux qui ont défendu la République.

En réponse, Seydina Oumar Touré remet en question la cohérence de la démarche de Me Youm, rappelant que cette loi a été adoptée sous son propre gouvernement. « Faire voter une loi par son parti en marge des canaux appropriés, en moins d’une année, et ‘espérer’ son abrogation, tout en reprochant au régime en place de ne pas l’avoir abrogée, me paraît incroyablement incohérent et foncièrement hypocrite », a-t-il asséné.

Allant plus loin dans son analyse, l’ancien officier de la gendarmerie accuse l’ancienne majorité, aujourd’hui dans l’opposition, de manquer de respect au peuple sénégalais. « Aujourd’hui plus que jamais, le pouvoir de jadis, opposition actuelle, repousse inexorablement les limites de l’irrespect et du manque de considération vis-à-vis du peuple souverain », a-t-il conclu.