La régulation du secteur de la communication est devenue une urgence eu égard aux mutations induites par le développement du numérique, a déclaré, mercredi, à Dakar, le président du Haut conseil du dialogue social (HCDS), Mamadou Lamine Dianté.
“Loin d’être une contrainte ou une tentative d’asphyxie, la régulation des médias constitue plutôt un levier conciliant la liberté et la responsabilité de la presse”, a-t-il déclaré.
Dans le processus d’édification d’une démocratie durable, “réguler ne signifie point censurer, mais garantir que tous les acteurs évoluent dans un cadre éthique, équitable et respectueux des droits fondamentaux”, a-t-il dit.
Il intervenait lors de la cérémonie d’ouverture des journées de concertations sur le secteur de la communication, portant sur le thème “Intégrité de l’information, régulation, gouvernance économique et cyberespace”.
Il a invité les acteurs concernés à repenser les modèles à partir desquels les médias fonctionnent actuellement, en vue de réinventer les cadres de concertation entre le gouvernement, les plateformes numériques, la société civile et les citoyens.
“Sous ce rapport, au-delà de la nécessité d’une compréhension partagée des enjeux et défis qui en découlent, il est urgent de forger un consensus autour de l’édification et du renforcement d’une conscience numérique commune et d’en intégrer la substance dans le dispositif juridique et règlementaire applicable”, a suggéré Mamadou Lamine Dianté.
Il est revenu sur les enjeux de ces journées de concertation, en demandant aux organisateurs, dont le ministère de tutelle, de s’inscrire résolument dans la dynamique de promotion de “la culture de concertation, consubstantielle à l’instauration et à la consolidation de la paix sociale dans notre pays”.
“En matière de dialogue social, la forme la plus élémentaire consiste en l’échange d’informations. […]”, a relevé le président du Haut conseil du dialogue social.
Il considère dans cette optique que les concertations ainsi engagées dans le secteur des médias revêtent “une importance capitale dès lors qu’elles portent sur les règles du jeu pouvant notamment contribuer au respect des principes liés à l’exercice des métiers relatifs à la communication”.
Il a laissé entendre que cela conditionne également “la garantie de la sécurité des professionnels des médias”.
aps
“Loin d’être une contrainte ou une tentative d’asphyxie, la régulation des médias constitue plutôt un levier conciliant la liberté et la responsabilité de la presse”, a-t-il déclaré.
Dans le processus d’édification d’une démocratie durable, “réguler ne signifie point censurer, mais garantir que tous les acteurs évoluent dans un cadre éthique, équitable et respectueux des droits fondamentaux”, a-t-il dit.
Il intervenait lors de la cérémonie d’ouverture des journées de concertations sur le secteur de la communication, portant sur le thème “Intégrité de l’information, régulation, gouvernance économique et cyberespace”.
Il a invité les acteurs concernés à repenser les modèles à partir desquels les médias fonctionnent actuellement, en vue de réinventer les cadres de concertation entre le gouvernement, les plateformes numériques, la société civile et les citoyens.
“Sous ce rapport, au-delà de la nécessité d’une compréhension partagée des enjeux et défis qui en découlent, il est urgent de forger un consensus autour de l’édification et du renforcement d’une conscience numérique commune et d’en intégrer la substance dans le dispositif juridique et règlementaire applicable”, a suggéré Mamadou Lamine Dianté.
Il est revenu sur les enjeux de ces journées de concertation, en demandant aux organisateurs, dont le ministère de tutelle, de s’inscrire résolument dans la dynamique de promotion de “la culture de concertation, consubstantielle à l’instauration et à la consolidation de la paix sociale dans notre pays”.
“En matière de dialogue social, la forme la plus élémentaire consiste en l’échange d’informations. […]”, a relevé le président du Haut conseil du dialogue social.
Il considère dans cette optique que les concertations ainsi engagées dans le secteur des médias revêtent “une importance capitale dès lors qu’elles portent sur les règles du jeu pouvant notamment contribuer au respect des principes liés à l’exercice des métiers relatifs à la communication”.
Il a laissé entendre que cela conditionne également “la garantie de la sécurité des professionnels des médias”.
aps